Personne ne peut douter de l’existence du marché des Bitcoin et autres cryptomonnaies. Alors que certaines personnes pensent fermement qu’elles représentent l’avenir, d’autres, continuent à ne compter que sur l’argent physique. Pourtant la Banque de New-York ; pour répondre à une certaine clientèle commence à en organiser la gestion. Demain, en France ?

Payer en cryptomonnaie demain, en France, est-ce envisageable ?

Si l’on parle communément de Bitcoin ; car c’est la cryptomonnaie précurseuse en la matière depuis 2009, il existe quantité d’autres monnaies dématérialisées à l’instar de l’Ethereum ou encore le Dash, le Monero ou l’Ethereum Classic… Depuis sa création en 2008, la cryptomonnaie permet de payer de pair à pair sur des plateformes spécialisées. Les Bitcoins et autres monnaies n’ont plus rien de virtuel et certains acharnés prennent les conseils de courtiers, pour faire les meilleures transactions.

Pour ne reprendre qu’un seul exemple, le Bitcoin est déjà entré en bourse avec une valeur de 19.4 milliards de dollars… En tant que monnaie alternative, la cryptomonnaie peut remporter un vrai succès auprès de personnes qui s’inquiètent de l’effondrement possible de l’économie.

Encore peu connues du grand public, il faut bien le reconnaitre, la banque la plus ancienne des Etats-Unis, basée à New-York ; la banque Mellon ; est en train d’organiser la gestion de ces actifs numériques, alors que l’autorisation du régulateur américain date de juillet dernier. Le directeur général des activités de la banque dans le domaine du numérique l’affirme : il faut désormais compter sur les actifs numériques.

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Un actif spéculatif qui attise les convoitises

Est-ce que cela veut dire qu’il sera possible de réaliser toutes les opérations bancaires classiques avec de la cryptomonnaie ? Selon le banquier, il faudrait entre 3 et 5 ans pour que l’intégration d’un tel système soit à 100% opérationnelle. On parle quand même d’une façon séculaire de travailler et d’envisager l’argent, et les habitudes ont besoin de temps pour se transformer.

Cela est autant valable pour les établissements bancaires que pour les utilisateurs. Il faut dans un premier temps se familiariser et comprendre les arcanes de ces monnaies pour en voir sans doute tout le potentiel. A quand cette démarche en France et séduirait-elle les français ? Cela est à étudier.